Diplômé de l'ENSAAMA (Olivier de Serres ) à Paris en 1995, j'oeuvre à titre personnel depuis 2001 à la restauration de vitraux du patrimoine et à la création de vitraux contemporains.
En 2022, l' EURL triforium est créée pour répondre aux nouvelles exigences du métier à savoir la gestion des risques liés aux usages du plomb, la sécurité et l'hygiène dans l'atelier et sur les chantiers et cela dans le cadre du développement d'une équipe.
A travers l'étude des peintres-verriers du XIXème siècle, c'est avec discrétion et respect que nous entretenons le patrimoine vitrail en Auvergne.
Nous travaillons pour les monuments historiques privés et publics.
Nous réalisons des vitraux en collaboration avec les artistes contemporains.
Nos interventions respectent la charte de Venise de l'ICOMOS, le cahier des charges du LRMH en accord avec la demande de la maîtrise d'ouvrage et sous le contrôle de la maîtrise d'oeuvre des ACMH, ABF, Architectes du patrimoine, Architectes .
L' atelier triforium étudie toutes vos demandes de création et de restauration de vitraux, de menuiseries et de serrureries spécifiques, de protection grillagées des verrières, d'accès toutes hauteurs.
Le triforium est la galerie située au dessus des bas-cotés de la nef qui permet dans une église gothique d'atteindre par l'extérieur les fenêtres hautes.
C'est le cheminement de l'artisan au sein de l'édifice.
C'est aussi l'art de la ciselure, du montage des pierres fines ; oeuvre trifoire ou triphoire.
Le nom de l'atelier reprend toutes ces considérations.
Triforium subst. masc.
- ARCHIT. Dans une église, ensemble des ouvertures par lesquelles la galerie située au-dessus des bas-côtés donne sur la nef principale; p. méton., cette galerie. Le triforium de la cathédrale de Laon, de Rouen. Les églises poitevines se distinguent par l'absence de triforium et de fenêtres dans la nef centrale (Mérimée, Ét. arts Moy. Âge, 1870, p. 66).
- Prononc. et Orth.: [tʀifɔ ʀjɔm]. Plur. des triforiums. Étymol. et Hist. 1. 1831 archit. « galerie du pourtour intérieur d'une église » (A. de Caumont, Cours d'antiquités monumentales, IV, p. 253 [Paris] ds Quem. DDL t. 10); 2. 1903-1904 « ajourage de cette galerie » (Guadet, Archit., t. 3, p. 64). Empr. à l'angl.triforium « id. » 1703 (N. Battely, Somner's Antiq. Canterb., II. I. IV. 16 ds NED), lui-même empr. au lat. médiév. triforium, ca 1185 (Gervase [of Canterbury], Tract. de Combust. et Repar. Cant. Eccl., Wks. [Rolls] I. 13, ibid. [cf. aussi Du Cange]) qui est une latinisation de l'a. fr. trifoire « incrustation, ciselure » et comme adj. « ciselé », ca 1150 or fin trifuire (Thèbes, éd. G. Raynaud de Lage, 5009) du lat. d'époque impériale transforare « transpercer »; cf. aussi l'a. fr. tresforer « id. », fin XIIes. (Sermons St Bernard, 62, 27 ds T.-L.).
L'atelier triforium se situe dans le centre historique de Royat, à 10 minutes de la cathédrale de Clermont-Ferrand, dans le département du Puy de Dome, en région Auvergne Rhône Alpes
Nous intervenons en Auvergne dans le Puy de Dôme et la Haute Loire et partout en France selon vos demandes.